T'as pas tout lu/ Préface de Mme Deshoulières

Loin de remplir d'ennuyeux complimens
Un inutile & long prélude,
Sans crainte, sans inquiétude,
Je livre mes amusemens
A la critique la plus rude.
Cette espèce de fermeté
Ne vient point de la vanité
Que m'auroient pu donner
les plus fameux suffrages;
De plus justes raisons font ma tranquillité.
Du tems qui détruit tout je crains peu les outrages;
Le grand nom de Louis, mêlé dans mes Ouvrages,
Les conduira sans doute à l'immortalité.

3 commentaires:

Fièvre de Monarc' a dit…

clique et tu pourras tout lire...

Unknown a dit…

Dis-donc, t'as réussi à uploader un pdf sur ton blog toi! Oh la vache!!!!!
Faut qu'on prenne rendez-vous autour d'un café!! hi hi hi! Chapeau l'artiste! Et merci pour ce précieux document que je m'en vais lire ce week-end tranquillement!
Pfff toi alors!.. J'suis verte de jalousie!
Bisous quand même GGGGrr, je fulmine!!!

Fièvre de Monarc' a dit…

C'est tt bête disait ma vache, j'ai eu la chance de trouver ce doc en ligne, une des oeuvres scannées par google, suffisait d'insérer l'adresse en lien, comme je le fais depuis qq mois. C'est assez heureux je l'avoue et j'en fut le premier étonné!
Bonne lecture!