Schmoll et les Chaussettes Noires: "Et s'il n'en reste qu'un, Tu parles trop". Claude Moine forever, reconnaîtras-tu le 1er riff? Chaussures!

12 commentaires:

Fièvre de Monarc' a dit…

Force est de reconnaître, que je me suis encore appliqué! Y'a un Dutronc caché quelque part, allez, fouillez!

Unknown a dit…

Ben notre beau Jacques, il est à la guitare pardi! Quant au riff "I can't get no satisfaction"" des cailloux qui roulent, il a peut-être tellement hanté l'ami Dutronc, qu'il en fait un autre superbe, un trait de.. des années plus tard ! Sauras-tu le déceler ?
Eventuelle réponse de Monar'c en passant dans mon blog, si l'adresse est encore connue! lol)
Bon p.m

Fièvre de Monarc' a dit…

Comment ça il joue dessus? Non, c'était sur scène au temps des chaussettes noires quand les gars étaient au service! Bon, moi je vous dirigeais vers la pochette d'El Toro et ses cyclones!
Comment ça adresse encore connue? ;o) n'importe quoi!!!
Pioupiou, tu auras compris que le titre du Schmoll était un hommage à... donc un peu à toi aussi par extension du domaine poétiquetique...

Fièvre de Monarc' a dit…

"Enregistré comme les albums précédents au studio Pye de Londres, Perspective 66, paru à l'automne 1965, comprend lui aussi son lot de purs joyaux de rock'n'roll. Le hit de l'album, c'est bien sûr "S'il n'en reste qu'un", écrit en collaboration avec Jean-Pierre Bourtayre. Mais les adaptations du répertoire anglo-saxon sont également remarquables, comme en témoignent "Rien qu'un seul mot" ("Satisfaction" des Stones !) - et "Il suffit de m'oublier" des Beatles. Là encore, Eddy est accompagné par des musiciens particulièrement cotés dans les studios londoniens, à commencer Jimmy Page (le futur leader de Led Zeppelin) à la guitare solo."
Philippe Margotin

Unknown a dit…

Dutronc a bien été guitariste d'Eddy non ? Faut que je révise! Quant à l'hommage de Schmoll à .... dois-je comprendre que je suis trop bla,bla,bla ??
Ah ben merci Frdo ! ça fait plaisir! Tiens je vais me recoucher! lol)

Fièvre de Monarc' a dit…

Remettons les sockettes à l'endroit:
- Je te suivais pour le Jacquot à ce détail près que c'était en '63, quand il remplaçait le guitariste sur scène. En '66 il était chanteur à son tour. Là le riff est assuré par Jimmy Page, alors au sein du London all stars avec John McLaughling.
-"Et s'il nen reste qu'un, je serai celui-là" clamait ton Victor préféré...
-Mais finalement c'est vrai parfois... tu parles trop!!!!
;o)

Unknown a dit…

Ah oui, ce cher Victor, le papa inspiré de Gavroche, d'Esmeralda pour ne citer qu'eux. J'étais un tantinet dans le brouillard, dans l'effet foehn de la "Côte d'Usure", les neurones iodés. Comme il paraîtrait que je tchache trop, je passerai juste sur la pointe des pieds pour te souhaiter un bon 14 juillet dansant à souhait, pétaradant de feux d'artifice, de barbe-à-papa, pommes d'amour et autres douceurs sucrées plus une belle promenade dans les rues parisiennes ombragées sous ce chaud soleil estival.

J'attends toujours la réponse au riff du Père Noël ! J'ai trouvé mon riff! A toi de trouver ton tien.
Voilà, je crois que c'est tout ! Ah non : chaussette, ça prend 2 T !
Bon, je me sauve avant de me faire taper! lol)
Bisouuuuuuuuuuuuuuuuuuu. J'suis plus là!

Anonyme a dit…

Chaussettes noires bof chaussures propres c'est mieux mais surtout, surtout, boxer blanc. Ah mince!!!!!!! jme suis encore trompée de site, jme croyais chez les meestiques! Désolée

Fièvre de Monarc' a dit…

rare cloclo en clic, que du bon!

Anonyme a dit…

Ben alors c'est laquelle cette chanson qui reste et qui disait je t'aime pour vous? Dites!

Fièvre de Monarc' a dit…

Là, c'est la chambre à coucher, le disque qu'elle écoutait
Tourne encore dans son coin pour rien
Là sur le lit, son livre est grand ouvert
Dieu comme elle doit l'aimer pour tout abandonner si vite

Soudain il ne reste qu'une chanson
Soudain je l'écoute, cette chanson
Elle disait "je t'aime", cette chanson qui revient toujours

Là, près de ce fauteuil, ces deux cafés oubliés
Me parlent encore de nous deux, oui, on dirait qu'elle s'en est allée
Comme s'il y avait le feu, la lettre qu'elle a laissée
Dit que je comprendrai mais soudain

Soudain il ne reste qu'une chanson
Soudain je l'écoute cette chanson
Elle disait "je t'aime", cette chanson qui revient toujours
Soudain, soudain il ne reste qu'une chanson
Elle dit mille choses, cette chanson
Elle disait "je t'aime", cette chanson qui revient toujours

Soudain il ne reste qu'une chanson
Ma raison refuse cette chanson
Mon cœur lui trouve mille excuses, cette chanson qui revient toujours
Soudain voilà qu'il ne me reste qu'une chanson
Je n'en veux plus mais je l'écoute cette chanson
Je n'en veux plus, plus jamais de cette chanson.

Anonyme a dit…

Drôle de réponse; enfin drôle...