J'ai la mémoire qui flanche J'me souviens plus très bien Comme il était très musicien Il jouait beaucoup des mains Tout entre nous a commencé Par un très long baiser Sur la veine bleutée du poignet Un long baiser sans fin
J'ai la mémoire qui flanche J'me souviens plus très bien Quel pouvait être son prénom, Et quel était son nom? Il s'appelait, je l'appelais Comment l'appelait-on? Pourtant c'est fou ce que j'aimais L'appeler par son nom
J'ai la mémoire qui flanche Je me souviens plus très bien De quelle couleur étaient ses yeux? Je crois pas qu'ils étaient bleus Étaient-ils verts, étaient-ils gris? Étaient-ils verts-de-gris? Ou changeaient-ils tout le temps d'couleur Pour un non pour un oui
J'ai la mémoire qui flanche J'me souviens plus très bien Habitait-il ce vieil hôtel Bourré de musiciens Pendant qu'il me, pendant que je Pendant qu'on faisait la fête Tous ces saxos ces clarinettes Qui me tournaient la tête
J'ai la mémoire qui flanche J'me souviens plus très bien Lequel de nous deux s'est lassé De l'autre le premier? Était-ce moi? Etait-ce lui? Était-ce donc moi ou lui? Tout ce que je sais c'est que depuis Je n'sais plus qui je suis
J'ai la mémoire qui flanche J'me souviens plus très bien Voilà qu'après toutes ces nuits blanches Il me reste plus rien Rien qu'un p'tit air qu'il sifflotait Chaque jour en se rasant
Pa dou di dou da di dou di Pa dou di dou da di dou Pa dou di dou da di dou Pa dou da di dou di Pa dou di dou da dou da Pa dou da dou da di dou
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Elle avait des bagues à chaque doigt
Des tas de bracelets autour des poignets
Et puis elle chantait avec une voix
Qui, sitôt, m’enjôla
Elle avait des yeux, des yeux d’opale
Qui me fascinaient, qui me fascinaient
Y avait l’ovale de son visage pâle
De femme fatale qui me fut fatale
On s’est connus, on s’est reconnus
On s’est perdus de vue, on s’est reperdus de vue
On s’est retrouvés, on s’est réchauffés
Puis on s’est séparés
Chacun pour soi est reparti
Dans le tourbillon de la vie
Je l’ai revue un soir, aïe, aïe, aïe
Ça fait déjà un fameux bail
Au son des banjos je l´ai reconnue
Ce curieux sourire qui m´avait tant plu
Sa voix si fatale, son beau visage pâle
M´émurent plus que jamais
Je me suis soûlé en l´écoutant
L´alcool fait oublier le temps
Je me suis réveillé en sentant
Des baisers sur mon front brûlant
On s´est connus, on s´est reconnus
On s´est perdus de vue, on s´est reperdus de vue
On s´est retrouvés, puis on s´est rechauffés
Puis on s´est séparés
Chacun pour soi est reparti
Dans le tourbillon de la vie
Je l´ai revue un soir ah là là
Elle est retombée dans mes bras
Quand on s´est connus
Quand on s´est reconnus
Pourquoi se perdre de vue
Se reperdre de vue?
Quand on s´est retrouvés
Quand on s´est réchauffés
Pourquoi se séparer ?
Alors tous deux on est repartis
Dans le tourbillon de la vie
On à continué à tourner
Tous les deux enlacés
Tous les deux enlacés
J'ai la mémoire qui flanche
J'me souviens plus très bien
Comme il était très musicien
Il jouait beaucoup des mains
Tout entre nous a commencé
Par un très long baiser
Sur la veine bleutée du poignet
Un long baiser sans fin
J'ai la mémoire qui flanche
J'me souviens plus très bien
Quel pouvait être son prénom,
Et quel était son nom?
Il s'appelait, je l'appelais
Comment l'appelait-on?
Pourtant c'est fou ce que j'aimais
L'appeler par son nom
J'ai la mémoire qui flanche
Je me souviens plus très bien
De quelle couleur étaient ses yeux?
Je crois pas qu'ils étaient bleus
Étaient-ils verts, étaient-ils gris?
Étaient-ils verts-de-gris?
Ou changeaient-ils tout le temps d'couleur
Pour un non pour un oui
J'ai la mémoire qui flanche
J'me souviens plus très bien
Habitait-il ce vieil hôtel
Bourré de musiciens
Pendant qu'il me, pendant que je
Pendant qu'on faisait la fête
Tous ces saxos ces clarinettes
Qui me tournaient la tête
J'ai la mémoire qui flanche
J'me souviens plus très bien
Lequel de nous deux s'est lassé
De l'autre le premier?
Était-ce moi? Etait-ce lui?
Était-ce donc moi ou lui?
Tout ce que je sais c'est que depuis
Je n'sais plus qui je suis
J'ai la mémoire qui flanche
J'me souviens plus très bien
Voilà qu'après toutes ces nuits blanches
Il me reste plus rien
Rien qu'un p'tit air qu'il sifflotait
Chaque jour en se rasant
Pa dou di dou da di dou di
Pa dou di dou da di dou
Pa dou di dou da di dou
Pa dou da di dou di
Pa dou di dou da dou da
Pa dou da dou da di dou
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